Quelle est votre piste de ski préférée ?
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Quelle est votre piste de ski préférée ?

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L’été est maintenant bien entamé, vous savez, quatre jours de soleil suivis de semaines de ciel gris et de temps moite. Pour surmonter cette période difficile, l’équipe s’est remémorée ses voyages de ski préférés et a partagé ses impressions sur ses stations et ses bars d’après-ski préférés. J’ai déjà publié des articles sur les endroits où trouver votre dose de neige en été et sur les festivals qui valent la peine d’être fréquentés cet hiver, mais il y a un sujet qui n’a pas encore été abordé dans ces pages et qui est peut-être le plus important de tous : quelle est votre piste de ski préférée ?

Tout le monde a une piste préférée, qu’il s’agisse de la piste où vous avez enchaîné vos premiers virages, de la cachette de poudreuse la plus terrifiante que vous avez empruntée ou de votre endroit favori pour vous retrouver intentionnellement inversé, ou du moins pour en rêver.

Pour chacun d’entre nous, le ski et le snowboard apportent quelque chose de différent. Je n’aime rien de plus qu’une petite randonnée avec des amis vers une ligne de poudreuse non tracée, peu importe que ce soit à travers les arbres, en volant dans un couloir ou en dévalant une piste vide jusqu’à la taille. J’ai posé la question aux experts, qui sont un groupe hétéroclite d’hédonistes, et une analyse des snowparks, des moments précaires et des pistes d’autoroute a été la discussion de la journée.

Vaujany possède quelques trésors cachés et il y a tellement de pistes à Avoriaz, mais à la réflexion, ma piste préférée de toutes est Jerusalem à St Martin. Prendre le siège de l’Olympic Express à Méribel et tomber dans le hors-piste doux mais agréable par une journée de poudreuse avant de rejoindre la légendaire piste rouge et d’enchaîner les rouleaux fait certainement partie de mes expériences de glisse les plus mémorables.

C’est ce que les gars ont choisi.

J’ai du mal à choisir entre la descente la plus amusante que je connaisse et le moment le plus mémorable que j’ai vécu en montagne. Il y a quelques années, à l’occasion d’un anniversaire plutôt important et d’une saison particulièrement bien enneigée, je me trouvais à Jackson Hole, aux États-Unis, sur le bord du couloir Corbett’s, à regarder une chute de 30 pieds. La corniche au sommet était si raide et si haute cette année-là que je ne pouvais même pas voir la zone d’atterrissage. C’était un véritable acte de foi. Lorsque j’ai sauté dans ce vide, j’ai atteint un certain nirvana que je ne pourrai sans doute jamais retrouver. Cependant, si je devais refaire une course pour le reste de ma vie, ce serait le Rock Garden à Lake Louise. Pour se frayer un chemin dans ce champ de rochers enneigés, il faut une vitesse fulgurante, une prise de décision instinctive et le toucher délicat d’un danseur – AJ

Mon parc préféré est celui de Tremblant. La station possède plusieurs parcs, dont le plus grand et le plus avancé est payant. Je pense que c’est fantastique parce que le parc est exceptionnellement bien entretenu et peu fréquenté. On peut donc s’attaquer à n’importe quel kicker ou rail massif sans file d’attente, ou sans une foule massive de gens qui attendent de voir le résultat si tout va mal, même si c’est agréable parfois lorsqu’il y a quelques jolies filles dans les parages. – Nick HH

Mont Gele à Verbier – Tenue en haute estime par Val d’Isère et St Anton, Verbier surpasse ses deux rivales par l’abondance de ses pistes. Des pistes au nom évocateur, comme Stairway to Heaven, expliquent pourquoi cette méga station suisse regorge de pistes non damées qui conviennent aussi bien aux skieurs intermédiaires qu’aux plus chevronnés. Avec de nombreux terrains escarpés en haute altitude et une neige de bonne qualité, ces pistes hybrides, officiellement balisées mais non tracées, permettent de pratiquer un ski vraiment épique.

La descente du Col des Mines à Verbier, célèbre pour son dénivelé généreux et le Mont Blanc en toile de fond, est typique de la station. Lorsque l’on franchit la crête après le lac des Vaux, le plateau parsemé de chalets de Verbier apparaît en contrebas, avec rien d’autre qu’une cuvette abrupte orientée vers l’ouest et des kilomètres de ski entre les deux. Dépourvu de remontées mécaniques, de pylônes ou de toute autre construction humaine, ce paysage époustouflant est si vaste que les foules se dispersent rapidement. Les autres skieurs ressemblent à des points sur la montagne, tout comme les bâtiments de la station en contrebas. Les pistes du matin offrent beaucoup de bonne neige froide, les pistes de l’après-midi avec le soleil se couchant sur les montagnes et la vallée du Rhône sont vraiment spectaculaires. Le terrain à l’approche de la station devient plus compact et, en prenant à gauche, les skieurs ont accès à des champs de bosses flanqués d’arbres, une excellente occasion de se mêler aux nombreux experts en bosses de Verbier.

Pour ceux qui souhaitent partir au-dessus du col des Mines, il est possible de le faire en empruntant d’abord la remontée mécanique du Mont Gele. Réservée aux plus expérimentés et dans de bonnes conditions, cette section redoutable récompense les plus téméraires en leur permettant d’admirer les terrasses des restaurants d’Attelas 2. Que l’on soit skieur ou planchiste et que l’on parte du lac des Vaux ou plus haut du Mont Gele, c’est un ski très complet qui s’offre à nous. – Thomas

Streatham Common quand les routes sont bloquées et que les toboggans sont de sortie ! – Tracy (elle est un peu urbaine)

Je suis peut-être partial parce que j’ai passé une excellente saison là-bas et que j’ai appris à connaître les secrets locaux, mais c’est aux Arcs qu’il faut aller. Après la neige fraîche, c’est la piste noire depuis le sommet des Deux Têtes, au-dessus des Arcs 1600, jusqu’au hors-piste à travers les arbres, sous le fauteuil du Mont Blanc. C’est le summum de la descente dans les arbres ! Attention à la falaise ! C’est une longue chute quand on ne s’y attend pas. – Nick J

Les 11 km de la route 7. C’est la piste qui relie Zermatt à Cervinia. Vous aurez une vue imprenable sur le Cervin lorsque vous passerez de la Suisse à l’Italie. N’attendez pas la dernière minute pour prendre le téléphérique du retour, car il y a de nombreux bars en route pour recharger les batteries qui s’amenuisent. – Nigel

Ma piste de ski préférée est celle de Sunshine Village, qui commence par une randonnée de cinq minutes depuis le télésiège de Wawa. Vous sortez des limites du domaine skiable en passant par ce que les gens du coin appellent « The Back Door » (la porte arrière). La piste suit le lit d’une rivière et traverse un long half pipe/canyon naturel plein de poudreuse. Comme le parcours suit le lit d’un ruisseau, vous êtes obligé de skier à plat, en suivant les contours de la rivière, vous avez l’impression d’être sur un toboggan aquatique fou ! On finit ensuite par skier dans les sous-bois, où l’on trouve quelques-uns des meilleurs arbres que j’aie jamais vus. Par jour de poudreuse, c’est du rêve ! Appréciez. – James T

La Balme à La Clusaz. Quelques longs virages difficiles mais gérables à la vitesse, jamais occupé, une longue piste satisfaisante qui mène directement à l’entrée d’un bar. – Calway

Le Mur – Avoriaz. C’est raide, c’est bosselé, c’est effrayant ! – Adam Clark (Le seul blader de la compagnie à avoir fait le mur sur eux !)

J’adore le parc d’Avoriaz. C’est un parc qui est fait de matériaux solides et qui est en place toute l’année. Dès que la neige tombe, il est prêt à l’action et les 540 Twisty Mcfly\s peuvent commencer ! – Ade

Belle Plagne – Les pistes enneigées, sinon j’ai tendance à avoir mal quand je tombe – James (Head of IT)

Ce doit être l’un des itinéraires de descente du Mont Gele à Verbier.

L’appréhension commence dans le téléphérique où tout le monde est équipé au maximum avec les derniers gadgets que je ne peux pas m’offrir. Ils en auront besoin pour skier dans mon sillage de poudreuse. On vous dépose sur la station d’atterrissage la plus basique. Ce n’est qu’une plate-forme métallique collée au bord de la montagne. Après une courte marche, il est temps de chausser ses chaussures avec le réglage DIN le plus élevé possible et de regarder par-dessus le bord. Quel que soit le chemin que vous empruntiez à travers les couloirs, les ravins, les dénivelés ou les bosses, la pente est raide, voire très raide. Les jours de poudreuse… ne me faites pas commencer. – Scotty

Si ce n’était du fait que la Coupe du monde est sur un écran à deux mètres de moi, je perdrais probablement mon après-midi à regarder des clips sur Mpora et à compter les jours jusqu’à ce que je réserve mes prochaines vacances !

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