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- L’état de fluidité de Warren Miller
Hier soir, j’ai eu la chance d’assister à la première londonienne de Flow State, le 63e film de Warren Miller\ et mon préféré à ce jour.
Comme toujours avec la tournée Warren Miller, la soirée a été très amusante. Il y avait une réception sponsorisée par la bière Asahi – qui a été bien accueillie – des sacs de cadeaux comprenant des antivols, du fart et des balles anti-stress, et les prix toujours populaires – une valise Warren Miller et une paire de skis Rossignol pour la coupe du monde.
Mais vous ne voulez pas entendre parler de cela, vous voulez entendre parler du film.
Flow State est mon film préféré de Warren Miller à ce jour, l’ambiance générale du film semble avoir changé et l’abondance de poudre a permis aux 400 spectateurs de s’émerveiller et d’applaudir tout au long du film. Comme il s’agit de mon installation préférée du film à ce jour, je ne vais pas la gâcher en vous racontant les meilleures répliques, les commentaires les plus drôles et les tours les plus fous, car vous devez vraiment la regarder par vous-même.
Warren Miller ne fait peut-être rien de révolutionnaire avec Flow State, mais le ski, la neige et l’atmosphère du film sont tous formidables – on voit même le narrateur Jonny Moseley faire du ski dans les années 80. Tout au long du film, on trouve des pentes raides en Alaska, un voyage à Stavanger, des pistes japonaises bordées d’arbres et remplies de poudreuse, ainsi qu’une section fantastique sur Murren.
En regardant des films de ski, on est souvent impressionné par l’impossible, mais Flow State a fermement placé Murren en haut de ma liste de skis à faire, et c’est bien plus réalisable que de faire de l’héliski dans le Tordrillo !
Alors, arrêtez de lire les critiques du film et allez le voir. Si vous avez de la chance, il restera peut-être quelques billets pour la tournée de cette année !